dimanche 23 novembre 2014

Machu Picchu

Machu Picchu

Machu Picchu (du Quechua machu : vieille, et pikchu : montagne, sommet), ancienne cité Inca du XV  ieme siecle.
Le Machu Picchu aurait été une des résidences de l’empereur Pachacutec.




Le Machu Picchu, voilà  un site qui fait rêver. Depuis longtemps ce lieu fait parti de nos envies de voyage. Majestueux, magique presque mystique c’est ainsi que l’on se l’imaginait. Et le voilà devant nous, sans nul autre pareil, identique à ces photos tant regardées. Il surgit au détour d’un lacet sans que l’on puisse se douter qu’il nous attend depuis si longtemps. Nous en prenons plien les yeux. Encore embrumé c’est dans cet appareil qu’il nous a accueilli, et pour avoir la chance de le découvrir sans nuage, nous avons pris notre temps, le temps de grimper la Montain Picchu, qui surplombe le site et fait face au Huayna Picchu. Des marches en pierre posées là par les Incas que nous gravissons le coeur joyeux malgré les 600 mètres de dénivelé. Une fois à 3000 mètres d’altitude la vue est encore plus bouchée qu’en bas ! Peu importe, nous l’avons fait et nous sommes heureux. Et puis peut être qu’une fois en bas, le site sera dévoilé ! Il l’était ! Rien ne manquait, les couleurs, les lamas, les lapins - chinchilla, et surtout la majestueuse vision de ce site tant attendu. Nous avons effectué la descente à pied en gardant en mémoire ce paysage merveilleux et chargé d’histoire. Et dans les eaux d’aguas calientes, qui détendaient nos muscles et appaisaient nos articulations, nous pensions qu’un rêve venait de se réaliser. Merci au peuple Incas.







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vendredi 21 novembre 2014

Ollantaytambo

Ollantaytambo


Ollantaytambo est une forteresse inca dont le nom signifie l'auberge d'Ollantay, du nom d'un guerrier. Elle fut le siège de combats acharnés entre Incas et Espagnols, Mancos Incas s'y réfugiant pour tenter de fédérer la résistance inca après la chute de Cuzco.

Elle est située à 75 km au nord-ouest de Cuzco au Pérou, à 2 792 m d'altitude






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Sites autour de Cuzco

Sites autour de Cuzco

Moray

La position des terrasses crée toute une série de microclimats : la température est plus élevée au centre mais diminue ensuite en fonction de la distance de chaque terrasse. Cela permet de simuler une vingtaine de microclimats différents. On pense que Moray a notamment servi à prévoir les rendements agricoles, non seulement dans la Vallée sacrée mais aussi dans d'autres partie de l'Empire Inca.


Les salinas de Maras

A plus de 3 200 m, une source jaillit donnant naissance à un ruisseau saturé de chlorure de sodium.
Dans la vallée de l’Urubamba, les salines de Maras abritent des centaines de bassins suspendus en terrasses sur les flancs de la montagne. Encore exploitées aujourd’hui, les salines datent de l’époque pré-inca et ont été développées au fil du temps.




Chinchero


Chinchero est un petit village typique colonial, perché à 3700m d'altitude. Les Incas le considéraient comme le lieu de naissance de l’arc en ciel.




Anecdote

Pour effectuer notre circuit permettant de visiter  le site archéologique  de Moray et les salinas de Maras, nous avons pris un taxi que nous négocions en intégrant les temps d'arrêt  aux sites. Avec nos têtes " d'américains ", après la visite de Moray, le chauffeur annonce la couleur en prétextant  que nous avons déjà  du retard et que le prix de la course a augmenté. Bien décidés à ne pas verser 1 sole de plus, nous visitons les salinas en un temps record et sautons dans le taxi en réveillant le chauffeur et en lui annonçant que temps était rattrapé et que le tarif ne bougerait pas. Notre chauffeur mécontent reprend la route avec de la suite dans les idées, puisque au moment de payer, il n’a pas la monnaie nécessaire.

Nat ne lâche pas, et lui précise fermement que nous allons prendre le prochain collectivos sans le payer s’il ne trouve pas la monnaie. En moins de 5 mn, il trouvera quand même la monnaie auprès de ses collègues, en réalisant qu'il ne soutirera pas un sole de plus à ces "américains de touristes". 


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jeudi 20 novembre 2014

Cuzco

Cuzco


Dés notre arrivée, Cuzco nous projette directement aux altitudes de  l’altiplano. Avec ses 3300 m la visite de la ville s’avére parfois moins aisée, surtout dans les parties escarpées de la ville.
Cuzco reste une ville à taille humaine, dont le centre historique peut se parcourir facilement à pied. Nous avons été séduits par la "Plaza de Armas", ses nombreuses églises et temples, son couvent "Santo Domingo" et autres bâtiments coloniaux.
C’est ici que nous avons bu notre premier  Pisco Sur (mais pas notre dernier...), avec une pensée pour Anne et Guy (des accros du Pisco Sur).
Notre étape à Cuzco nous aura laissé le temps de découvrir la cuisine Péruvienne, de peaufiner  l’art du marchandage et de partager quelques moments avec les locaux.
Même  si la ville est parfois bien polluée, elle reste une étape incontournable pour découvrir  la vallée sacrée et le Machu Picchu.






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dimanche 16 novembre 2014

Pérou - Lima

Pérou - Lima


Avec une agglomération d’environ dix millions d’habitants, Lima est la cinquième plus grande ville d'Amérique latine.
Lima fut fondée le 18 janvier 1535 par le conquistador espagnol Francisco Pizarro, sous le nom de « la Ciudad de los Reyes » (« la Cité des Rois »). Elle devient la capitale et la ville principale de lavice-royauté du Pérou et puis celle de la République, après l’indépendance du pays vis-à-vis de l’Espagne en 1822.
Cette capitale, malgré sa mauvaise réputation aura su nous séduire par ses jolis bâtiments. Nous y avons fait la connaissance d'un jeune étudiant en commerce international qui travaillait pour payer ses études. Ce jeune homme nous en a dit un peu plus sur la réalité de la vie au Pérou. Ce moment d'échange nous a ravi. 
Nous aurions pu rester une journée de plus dans la capitale, mais la suite de notre périple vers Cuzco était programmé. 






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vendredi 14 novembre 2014

Le parc Manuel Antonio

Le parc Manuel Antonio


Un peu usés par tous ces jours de pluie, nous décidons de modifier notre itinéraire et de nous diriger sur la cote pacifique, à priori la météo semble plus clémente (nous éliminons donc Monte verde et Ricon de la vieja, trop montagneux et complètement pris dans les nuages).
Pour rejoindre la cote pacifique nous mettrons plus de 4 h pour faire moins de 200km, le GPS nous envoie sur une piste et nous doutons un peu... en demandant à un villageois, il inspecte notre véhicule et il nous fait comprendre que ça doit passer. Pas trop le choix, car la jauge ne nous permet pas de faire demi tour, pour prendre un autre itinéraire. Les 18 km de descente caillouteuse et défoncée auront raison des freins de notre Rav 4  (mais ou est le frein moteur?) et nous  causera une petite frayeur quand la pédale s'enfoncera sans répondre...il nous faudra attendre plus d'une demi heure pour retrouver un circuit de freins opérationnel.
Le parc national Manuel-Antonio se situe sur la côte pacifique du Costa Rica, dans la province de Puntarenas. Le parc est riche en animaux : capucins moines, paresseux,  reptiles, oiseaux et comporte de très jolies plages. Une météo beaucoup plus clémente nous a permis de profiter de cet endroit pendant trois jours, celui-ci sera notre meilleur souvenir du Costa Rica compte tenu de la météo.
Au final nous écourterons notre séjour de 3 jours que nous utiliserons pour la suite de notre périple.
La saison des pluies, ne nous aura pas permis de découvrir toutes les richesses de ce pays, mais nous gardons en mémoire la beauté de sa luxuriante végétation habitée de jolies petites frimousses de capucins.










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mardi 11 novembre 2014

Arenal et La Fortuna

Arenal et La Fortuna



Toisiéme volcan de la série, celui-ci était certainement très beau, mais la météo ne nous aura jamais laissé le loisir de voir son beau profil.
Nous somme restés trois jours oû nous aurons quand même fait l'ascension du Cerro Chato, sous une pluie battante sans aucune visibilité et dans la boue...
Le parc d'Arenal ne nous aura laissé voir que peu d'animaux.
Heureusement les eaux thermales de Baldi à La Fortuna auront su nous ravir et nous réchauffer, au grand plaisir de Nat ! 5 h dans l'eau à trempouigner, je vous dis pas, comme j'ai récupéré mémé ! Toute frippée !





Costa Rica, les volcans Irazu et Poas

Costa Rica : les volcans Irazu et Poas




Des volcans nous en voulions, et le Costa Rica était la destination phare pour cela. mais la saison des pluies est comment dire "pluvieuse, boueuse et par dessus tout ça, brumeuse'. Alors imaginez un volcan en activité qui laisse échapper la fumée associée à de la vapeur d'eau. Le résultat est égal à une énorme barbe à papa qui ne se dissipe pas ! D'Irasu nous attendons toujours les couleurs du lagon, qui d'ailleurs est assèche depuis presque une année , mais cela, n'est pas mentionné par les offices de tourismes. De Poas nous ne pouvons en dire plus que l'épaisseur du brouillard, ne permettant pas d'apercevoir à 2 mètres la lagunes, mais cela aussi, personne ne le signale. Nous avons fort heureusement apprécié la route, même sous la pluie et constaté que le pays ne bernait personne sur sa luxuriante végétation. Notre envie et même notre rêve était de voir ces volcans mais ...nous avons pu tout de même y marcher dessus.







Épisodes pluvieux à répétitions



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lundi 10 novembre 2014

Mexico

Mexico


De tous ces lieux qui sonnaient bien à nos oreilles, Mexico n'aura pas joué la mélodie escomptée. C'est une ville, certes immense, colorée, musicale mais pas comme la décrivent les guides. La pollution y est très présente, les couleurs sont surtout celles des toitures des bidons ville, puisqu'elle détient le malheureux record d'en posséder un, des plus grands de la planète. La musique se réduit le plus souvent, aux klaxons des véhicules en tous genres, des cris de vendeurs d'articles de provenances variées et des sifflets de la police,  de l'armée et autres milices privées. 
Son immensité nous oblige à prendre un métro surpeuplé et dont l'accès ou la sortie y est tellement impossible aux heures de pointes, que la ville fait appel à des militaires pour arracher les voyageurs des rames. Lolo a failli perdre Nat d 'asphyxie !
Nous avons constaté que Mexico, n'était pas une ville sûre et que son intérêt se réduit pour nous à son magnifique et fantastique musée d'anthropologie, sa basilique et quelques beaux bâtiments de l'époque coloniale. Même son zocalo n'a pas le charme décrit par les manuels ! Pour ne pas être trop déçus de notre choix de destination, nous avons aussi visité son zoo, qui détient quelques beaux et rares animaux, dont, une panthère noire et trois pandas et dont l'accès est gratuit, chose rare dans une capitale. 
Nous avons fait une jolie découverte,  en goûtant, aux Mezcal et à la véritable tequila (boissons issues de l'agave) ! Aie aie aie caramba, caliente !!! Un petit verre de chaque et nous avions des joues bien colorées ! 
Les locaux ne sont généralement pas chaleureux et le touriste n'est pas toujours le bien venu et malgré la musique des mariachis n'adoucie pas toujours les meurs.
Au final nous ne regrettons pas notre séjour au Mexique, car même s'il n'a pas ravi notre coeur, il a assouvi notre curiosité. Tout ne peut pas toujours être à la hauteur de nos attentes, et le départ pour l'aéroport en est une preuve. 

Départ de Mexico pour le Costa Rica mouvementé...
Pour suivre les recommandations des guides nous commandons un taxi par l'hôtel, en insistant sur le "taxi sûre". Celui- ci arrive a l'heure dans une voiture de seconde ou troisième vie sans indication de taxi...pas le choix, on case les sacs entre la roue de secours et les bidons d'huile et c'est parti! 
Manuel prend grand soin de ne pas faire renverser son café à chaque trou dans la chaussée, une main sur le gobelet et l autre parfois sur le volant. Pas une goutte de café ne s'échappe du gobelet malgré une conduite Mexicaine bien typique. Soudain un bloc de béton de signalisation, planté au milieu des 4 voies se trouve face a nous.. un grand bruit...un coup de frein sans effet ( normal la voiture ne semblait plus équipée de freins depuis longtemps..),  coup de volant à droite puis à gauche, on pousse le bloc sur des dizaines de mètres, puis il passe sous la voiture, on serre les f... pour ne pas verser ...puis le véhicule s'immobilise dans la voie des bus. Pas de bobo, Nat a cogné la tête, mais gardé tous ses neurones, le seul à avoir subi des séquelles, restera le café de Manuel qui a été satellisé dans l'habitacle.
Le bloc béton et des morceaux de signalisation jonchent la chaussée, deux véhicules de police passent sur les débris sans s'arrêter, un autre en sens inverse idem. Nous sortons rapidement les sacs entre deux passages de bus. Scotchés mais calmes. Le chauffeur appellera un collègue à lui et nous finirons par arriver à l'heure à l'aéroport ! D'ailleurs ce jour là, le retard était permis, puisque le brouillard bloquait le tarmac et nous avons embarqué avec deux heures de retard ! Ce qui compte au Mexique c'est de vérifier si le taxi possède au moins une vierge, un crucifix, un fer à cheval et des pattes de coqs pour protéger les voyageurs, car côté sécurité c'est plutôt raté !









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